Atelier  Philo

Le changement : contrainte ou choix ?

Thème : Peut-on penser/maîtriser le changement ?

Mardi 16 Octobre  2012  à 20h30


Lieu : le Ness
3, rue Très-Cloître Grenoble

Séances précédentes :
La fonction du désir
Le corps, la jouissance et le langage
La jouissance au coeur des contraires
Bilan 2011/2012
Quelles règles ? Détermination du thème.
Peut-on penser/maîtriser le changement ?
Doit-on connaître pour maîtriser ?



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Présentation de l'espace philo :

L’ATELIER PHILO…

Historiquement, « l’atelier philo » s’inscrit à la fois dans la continuité et la rupture des « cafés philo » des années 1995-2005.

-          Dans la continuité, car il ne s’agit pas de conférence, ni d’exposé, (même suivi d’un débat), de la part de quelqu’un qui, possesseur d’un savoir, viendrait le transmettre ; chaque participant, quelle que soit sa compétence, s’exerce à exprimer son propre point de vue, sur lequel il permet ainsi, à chacun, d’opérer un travail de compréhension et de critique.

-          Dans la rupture aussi, par conséquent, car ce travail en commun devient l’aspect principal de l’atelier.

Le thème retenu – actuellement : « Peut-on penser/maîtriser le changement ? » - ne change pas à chaque séance, mais se poursuit sur plusieurs mois, voire l’année…Il donne lieu à une présentation personnelle au début de chaque séance (qui peut être mise en ligne quelques jours avant la réunion), et chaque participant est invité à rédiger une « trace » (compte rendu ou réaction subjective) distribuée la fois suivante, mais également consultable sur ce site.

En écho à l'atelier du 2 Octobre : "Doit-on connaître pour maîtriser ?"

Il y avait beaucoup d’ambition l’autre soir à vouloir traiter le problème de la « connaissance » ; problème certainement clé pour celui qui se donne pour tâche d’élaborer une conception du monde. Les  philosophes au cours de l’histoire ont donné des réponses diverses et contradictoires ; nous les avons évoquées et nous n’avons pas eu le sentiment d’avancer dans notre question.

Mais  l’enjeu était de taille puisqu’il était question de « maîtrise ». La peur de ne pas « faire face » à la réalité nous habite (instinct de survie) ;  or en quoi est-il essentiel de supposer que ces réalités (la réalité extérieure et intérieure de l’individu) se doivent d’être cernées pour que « tout risque » (d’échec ? de paralysie ? d’éviction ? de mort ? – ce qui n’est peut-être pas la même chose-) soit écarté ? N’est-il pas plus judicieux, au contraire, de toujours « compter » avec l’inconnu ? Car Le changement : contrainte ou choix ? - ce sera le sujet du Jeudi 16 Octobre 2012.       Geneviève