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Visuel en guise d'illustration de la phrase !

Atelier  Philo

 

Mardi 3 Septembre 2019 à 20h30

phrase retenue pour la discussion :

C'est quoi les vacances ?

Lieu: L'atypik
10,place Edmond Arnaud (bout de la rue Très-cloîtres) 
Grenoble



Séance précédente

Les vacances de M. Hulot - un Film de Jacques Tati

En écho au dernier Atelier Philo  dont le sujet était   "De quelle mort parle-ton ?"

 

l'euthnasie est un sujet aujourd'hui subventionné par l"état au même titre que d'autres effectivement très dérangeant non pas en soit, mais par la motivation politique qui les a fait porter sur le devant de la scène. Il me parait plus approprié de discuter des ces sujets à une période plus sereine ou, l'économie ne sera pas principal crtière d'appréciation d'une sociéte civile. Nous ne devrions pas nous laisser dicter nos débats, ni d'aiilieurs quiconque nous interdire d'avoir un avis qui serait divergeant de celui est est promu ou recommendé.

Notre société est extrêmeent fragile, avec un grand nombre d'exclus, d'importés, d'illégaux, de chomeurs, de gens qui sobrent devant cette société marchande utilitariset et cruelle, et ces idées d'authanasie me rapellent beaucoup des politiues qui on" déjà été mises en oeuvre autrefois dans un certain état national soit, mais aussi et surtout socialiste qui a fait tant de mort.

La médecine est une affaire de médecin, pas d'économiste, de fonctionnaire, ni dénarque ce qui revient au même, pas plus de banquier, d'industriels ou de patron de presse (qui sont les même d'ailleurs) . Stéphane
Stéphane

 

Bien sur que le sujet de l'euthanasie est à manier avec précautions. Il est important d'en parler pour que se constrisent des gardes fous. Si on doit attendre que "l'économie ne soit plus le principal critèred'appréciation d'une société civile" cela rique d'être long et relever de l'utopie. L'évolution de la médecine qui supprime la mort naturelle (à la Renaissance , la mortalité infantile était de 40%, aujourd'hui, elle est presque nulle) génére une situation et des impasses qui font apparaître la "nécéssité" des interruptions médicales...Il est clair que tout ce qui est possible est faisable et tout ce qui est faisable sera fait. Ce n'est pas une raison pour fermer les écoutilles, faire mine de ne pas voir et entendre.

> La primauté de l'économie sur la société civile est un postulat qui ne se régle pas en une assertion.

> Un être sans utilité est à plaindre soit il est un exclu soit il est une sorte de babab "jet setter"...Bien entendu tout être est légitime à être sujet et non pas objet (en particulier d'exploitation)..Dans la construction de son identité et de son épanouissement, le sentiment d'être utile est une composante essentielle. Ce sentiment  doit reposer, non pas sur le besoin egotiste de reconnaissance, mais sur le goût d'être utile...Au bout du bout, dans la capacité altruiste de donner et d'aimer....

>  

 Patrick

 

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Que les libertés individuelles et les libertés publiques sont garanties par la puissance publique, en particulier les autorités judiciaires. L'euthanasie, avec tous les problèmes éthiques qu'elle pose, si elle , fondamentalement, une décision privée ne saurait être exercée sans la protection de l'autorité publique garante du respect de la liberté individuelle.
> > La conscience de soi ou plutôt les consciences de soi ne se conscientisent que dans une multitude de relations triangulaires qui renvoient le sujet à lui même. La loi édictant une norme, parfaite ou pas, en est un exemple concret. Il est permis de penser que les animaux ont une conscience d'eux mêmes, par la place qu'ils acceptent dans une harde, meute, colonie, la vision de leur être au monde, confronté à l'impératif de survie quelle que soit leur place dans la chaîne alimentaire. Cette conscience d'eux mêmes est aussi énigmatique à percevoir que la notre.
> > L'intérêt d'un groupe comme celui des amis du tonneau réside dans sa capacité à être capable d'aborder des sujets "dérangeants"...Sinon, il ne resterait plus qu'à discuter du sexe des anges...La confrontation, même aiguë ,des points de vues permet la découverte des différentes positions, d'apurer ces dernières en les débarrassant
> > des scories de l'ignorance et de l'enfermement dans des convictions...
> > En tout état de cause, personne ne saurait décider de ce dont il est autoriser de parler ou pas...  Patrick
> >

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La non nécessité de l'utilité semble être un point difficile aujourd'hui, pour peruve l'insulte  "tu sers à rien" et l'angoisse "je  sers à rien"

 

Nous ne sommes objectivement ni des truelles, ni des rouages, ni quoique ce soit qui ait à bien faire fonctionner quoi que ce soit. Ou bien qu'on me dise quoi et pour quelle raison.

 

Le croire c'est intégrer un peu trop profondément ce que ceux qui nous gouvernent aimeraient bien que nous soyons, puisque le critère unique et officiel de mesure de la santé du pays est le PIB quand il s'agit de l'état, et la rentabilité quand il s'agit de l'ntreprise, et les deux sont intimmement liés. Les reste en découle, on envisage même le chaos quand cela peut servir l'objectif.

 

Il n'y a pas d'utopie à faire cesser une pratique qui est extrêmenet récente :  depuis quand l'économie a-t-elle pris cette place prépondérante comme critère de gouvernance. Au plus quelques dizaines d'années.

 

Cet utilisarisme m'évoque un autre pays socialiste, un des rares encore vivant d'ailleurs , bien que mourrant: l'Erythrée, dont on recupère les fuyants en masse. Ces messieurs qui savent le bien pour les autres n'ont ren trouvé de mieux que d'instaurer un service national à vie, pour pallier au disfontionnement général de la société, et réparer les routes par exemple. On y va tout droit les amis, quand les inutiles non suicidés et pas eutanasiés  aurons été identifiés,

il faudra bien les faire marcher au pas pour le bien commun.  Stéphane

 

 

 

 

Les Suisses ont du pognon et n'ébouillantent plus les écrevisses depuis qu'ils se ont aperçus qu'elles n'avaient pas de cordes vocales pour crier leur

 douleur. L'argent et la moralité sont liés plus ou moins directement.[...]

Bref, le problème de l’utilité dépend de l’idée que l’on se fait de l’utilité.     Jacques

Le problème n'est pas l'utilité mais la gestion de la question de l'utilité.La question de l'utilité se pose depuis que la monnaie a été inventée, et plus particulièrement depuis la révolution industrielle du 19ème siècle.L'inutilité était auparavant gérée par la religion, l'art et la philosophie… Il devient difficile à notre époque de gérer son inutilité… En situation de crise économique.

 

L’ATELIER PHILO… ?

Historiquement, « l’atelier philo » s’inscrit à la fois dans la continuité et la rupture des « cafés philo » des années 1995-2005.

-          Dans la continuité, car il ne s’agit pas de conférence, ni d’exposé, (même suivi d’un débat), de la part de quelqu’un qui, possesseur d’un savoir, viendrait le transmettre ; chaque participant, quelle que soit sa compétence, s’exerce à exprimer son propre point de vue, sur lequel il permet ainsi, à chacun, d’opérer un travail de compréhension et de critique.

-          Dans la rupture aussi, par conséquent, car ce travail en commun devient l’aspect principal de l’atelier.

 A noter : Maintenant, le sujet tiré au sort vaudra pour la fois suivante et sera annoncé ; chacun peut ainsi y réfléchir avant la séance.

Séances précédentes :

Passion, désir, besoin

La fonction du désir

Le corps, la jouissance et le langage

La jouissance au coeur des contraires

Bilan 2011/2012

Peut-on penser/maîtriser le changement ?

Quelles règles ? Détermination du thème.
Peut-on penser/maîtriser le changement ?
Doit-on connaître pour maîtriser ?
Le changement : contrainte ou choix ?
Que devons-nous changer ?
Qu'est-ce que penser le changement ?
Le rôle de l'intersubjectivité dans la pensée et la maîtrise du changement ?
Changement ou éternel retour ?
Fin du thème : Peut-on penser/maîtriser le changement ?

L'origine de la notion de réalité

L'origine de la notion de réalité
Est-ce qu'on voit ce que l'on croit ou est-ce qu'on croit ce que l'on voit ?
Toute pensée est-elle une réalité ?
Au commencement, était-ce le Verbe ?
La conscience est-elle dans la réalité ?
Le réel est-il intelligible ?
Le réel comme présence ou comme croyance ?
Comment le faux peut-il produire le vrai ?
Le rôle de l'émotion dans la recherche de la vérité ?
L'art permet-il de connaître l'origine de la réalité ?
Peut-on penser l'origine de la réalité ?
Comment peut-on dire qu'une chose est imprévisible ?
Détermination du thème

Quelle est la nature de nos pensées ?

Qu'est-ce qu'une idée ?
Est-ce que la pensée est un processus continu ?
Quelles sont les relations entre le langage et la pensée ?
Comprendre le monde, est-ce le penser ?
Les différents modes de conscience ?
Peut-on penser l'impensable ?
La pensée est-elle réductible à la matière ?
Quel phénomène fonde l'expression "la pensée" ?
Peut-on penser sans croyance ?
Peut-on entraver la liberté de penser ?
Y-a-t-il des liens entre la liberté individuelle et les libertés collectives ?
L'esclave : oui-non ou plus ou moins ? de qui ou de quoi ? ?
La réflexion dégrade-t-elle l'intuition ?
Peut-on définir la conscience ?
Peut-on penser sans langage ?
Peut-on faire un atelier philo sans mots ?
La pensée et le temps ?
La limite du langage ?
Qu'est-ce qui fonde le raisonnable ?
Tout argument est-il recevable ?

Quel "Thème" pour les mois à venir ?
La réalité du temps ?
Dieu ?
Le Dieu des savants ?
D'où je parle ?
N'y-a-t-il pas de l'universel en nous ?
Ce qui est devait-il être ?
Sans sortir de son ego, l'individu peut-il cerner ce qui l'entoure?
L'être et la lettre ?
Dieu est-il incompatible avec la philosophie ?
Sans croyance, l'individu peut-il avancer ?
La transcendance est-elle toujours religieuse ?
nouvelle méthode
Que du bonheur !
Vaut mieux avoir un peu de chaque chose que beaucoup d'une seule !
0n était là avant.
Les valeurs se perdent.
L'immigration est un problème
Oui, mais c'est bien pratique.
J'peux pas, j'ai pas le temps.
Que fait la police ?!
Y-a plus de jeunesse !
Les nôtres avant les autres !
Je tiens à toi !
Le travail, c'est la santé !
Tout se paie !
Mais pas que...
La connerie attire la connerie...
Dans ma vie d'avant...
Bonne Année ?
Toutes choses étant égales par ailleurs
L'homme ne voit pas le péril, il voit le profit
Après la pluie, le beau temps
En son âme et conscience
Pierre qui roule n'amasse pas mousse
Pour qui roules-tu ?
Il est bon de tourner sept fois sa langue dans sa bouche...
Mieux vaut tard que jamais ...
Faire et Défaire
Parler pour ne rien dire
Fais comme chez toi
Le dernier qui parle a toujours raison
C'est l'intention qui compte
Tout fout le camp, ma pauvre dame !
Les nuits sont plus longues que les jours !
La nuit tous les chats sont gris !
Ils se foutent de nous !
On est obligé de marcher !
C'est comme ça !
Il faut boire le vin quand il est tiré
Je ne sais pas si j'irai voter
En définitive, c'est à nous de faire !
Voter, c'est abdiquer!
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.
Il faut faire ce que l'on dit !
Il ne faudrait pas vieillir !
C'est pourtant pas compliqué !
Ils parlent bien mais que font-ils ?
La lumière est-elle antérieure à la matière ?
On demeure dans l'incertitude
A la va comme j'te pousse
On finira bien par y arriver
Où allons-nous ?
ça fait du bien par où ça passe
Y-a pas le choix !
Y-a pas le temps !
Le savoir, un droit ou un devoir ?
Les apparences sont trompeuses
Qu'est-ce qu'une question ?
Il n'y a pas d'amour heureux
J'en ai rien à foutre !
Quelle valeur a le tabou ?
Le doute empêche-t-il de cultiver la confiance ?
Trouver l'équilibre dans le déséquilibre
Peut-on être scientifique et religieux
Le Néant
Peut-on croire en soi-même ?
De quelle mort parle-t-on ?