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La rue est cette espèce d'espace en perpétuel mouvement qui demeure le miroir de notre société -  Espèces d'Espaces

 

 

Atelier  Philo

 

Mardi  13 Avril 2021 à 20h30 

phrase retenue pour la discussion :

 

Dans quelle mesure avons-nous la possibilité de remettre

en cause notre conception du monde ?

 

Reprise de tous les Ateliers par INTERNET

 

Lieu de réunion habituel : L'atypik
10,place Edmond Arnaud (bout de la rue Très-cloîtres) 
Grenoble


Ci-dessous, un "écho" de l'Atelier précédent !!!

Séance précédente

L’ATELIER PHILO… ?

Historiquement, « l’atelier philo » s’inscrit à la fois dans la continuité et la rupture des « cafés philo » des années 1995-2005.

-          Dans la continuité, car il ne s’agit pas de conférence, ni d’exposé, (même suivi d’un débat), de la part de quelqu’un qui, possesseur d’un savoir, viendrait le transmettre ; chaque participant, quelle que soit sa compétence, s’exerce à exprimer son propre point de vue, sur lequel il permet ainsi, à chacun, d’opérer un travail de compréhension et de critique.

-          Dans la rupture aussi, par conséquent, car ce travail en commun devient l’aspect principal de l’atelier.

 

ECHO.....  L'universel réside-t-il dans les mots ?

 

 

Compte rendu totalement subjectif de Jacques.

Un vrai café philo : avec des temps de recomposition du sujet, de plantages, d’hésitation, de flottement, de remise en question, d’explicitation de ses points de vue, de constatation de différence. Le contraire d’une émission de télévision et de gavage du cerveau par un maître de la philosophie.

Le sujet proposé par David : « L’universel ne réside-t-il que dans les mots ? »

David introduit le sujet : Nous pensons le monde en catégories s’emboîtant les unes dans les autres, approximativement de la même manière quelles que soit les cultures.

Le terme d’universel ne semble pas très approprié et David le remplace par « Le général ne réside-t-il que dans les mots ».

Réponse de Jacques à David

C’est la structure des objets qui en produit les catégories du langage (un arbre, une plante, une paire de lunette, une voiture, une voiture de police sont des structures différenciées selon tels ou tels paramètres de ressemblance. Le monde – et le vivant – sont en eux-mêmes une intelligence se concrétisant  en savoir. Nous avons des difficultés à le penser parce que nous sortons d’une culture des années 1970 - tout humain, tout école, tout culture, tout Ego de l’ascension scolaire et sociale.

Il me semble que c’est cette intelligence première, du monde et du vivant dans son ensemble, qui justifie la notion de Dieu pour David. Pour jacques c’est un simple constat : notre intelligence, notre savoir n’est pas uniquement de notre fait personnel. Je sais parce que j’ai une capacité de savoir totalement spontanée que je valorise par l’apprentissage. Mes poumons peuvent et savent respirer spontanément sans qu’ils aient besoin de faire 10 ans d’études. Ce n’est pas moi qui fabrique mon aptitude à distinguer les couleurs les unes des autres.

Laurent d’une manière itérative remet sur le tapis la question de la subjectivité. Et alors !? Pour Jacques, la subjectivité est ce qu’il a de plus précieux. Dans le café philo, nous avons chacun des personnalités culturelles différentes. Ces personnalités culturelles justifieraient que nous soyons racistes entre nous. Il y aurait les races de Laurent, de Jacques, de David, de Geneviève, de Jean-Pierre.. Et nous constatons leurs difficultés de compatibilité – comme s’ils étaient issus de planètes différentes.

Les Anglais, les Français et les allemands sont différents. La race française est particulièrement nulle et banane face à la Covid 19. Alors si nous parlons de la race chinoise, même la notion de paysage se traduit par des combinaisons de mots qui nous sont étranges. Il n’y a pas « Un » homme et « Un » monde, mais des interactions, des interrelations différentes entre l’homme et ce monde. Ce n’est pas la nature des objets qui compte, mais le rapport au monde qui construit leur identité. Mon chien ou mon chat peut avoir plus d’identité avec moi, que moi avec telle ou telle personne.

L’universel pose la question de l’identité. Notre culture française est particulièrement chiante à ce sujet. Il faudrait que nous soyons tous pareils, tous identiques au travers du monde parce que un = un, il faudrait que nous soyons tous français, qu’en fait le monde soit la France. Une chouette bande chouette copains faisant des bonnes bouffes ensemble.

La subjectivité pose le problème d’un ordre du monde absolu. Chacun est le fabricant de son propre ordre du monde. L’ordre de chacun ne peut-être qu’absolu, le problème est de s’arranger avec la question pour y apporter une réponse. Il n’y a que de l’en-soi pour-soi. Le problème est que nous sommes un en-soi pour l’autre.

Le sujet s’étend de l’universel à la raison. Les points de vue sont « intéressants ». Pour jacques elle est un simple outil dont on peut abuser en donnant l’impression que l’on est cohérent et non contradictoire, tout en avançant des choses fausses et relatives. La raison est basée tout simplement sur le principe de non-contradiction, il assimile probablement à tort raison et raisonnement. Pour Jean-Pierre, la raison est plus la causalité de ce que l’on observe, la raison des choses. Jacques adhère aussi à ce point de vue. Il y a la raison qui s’auto entretient d’elle-même dans une pure cohérence d’un assemblage de mots et de phrases ; elle est nécessaire pour présenter et communiquer les choses, mais peut-être stérile et simplement auto-justificative. La raison est aussi la démarche de pensée nous permettant de comprendre un ordre des choses. Cette dernière est basée sur la constatation et l’observation du réel. Les mots ne veulent pas dire la même chose pour Jean-Pierre et pour Jacques : la raison de Jean-Pierre et la causalité pour Jacques. Pour David, (je ne sais pas si je suis exact) la raison est la recherche des principes premiers. Mais jacques répond : les principes premiers de quoi ? La cause première ? Celle qui rend possible le monde ? Je sais que je ne sais pas ! Ne serait-ce pas une question de pouvoir et de sa gestion par un être supérieur dont on peut se foutre éperdument ! La cause première est le soleil qui se met à briller – et le passage à l’heure d’été ! La cause première est le vin ou la bière !

L’universel est fondé sur le fait que nous vivons dans le même monde dans une logique du vivant, et que nous y sommes chacun comme différent – et que l’homme échappe à cette logique par le surnombre de son espèce

Geneviève, elle, a préféré écouter, elle est sollicitée pour intervenir à la fin ... Jacques

Non ! J'ai essayé de « parler » au milieu, pour « dire » à Laurent qui venait d'intervenir longuement et, surtout, de façon péremptoire, qu'il me paraissait important, par méthode, d'émettre des « hypothèses » non seulement différentes mais même en totale contradiction avec celle qu'on avait en tête spontanément ; Laurent a refusé catégoriquement cette démarche en disant : « on ne va pas passer son temps à faire  des hypothèses !»  Pourquoi ? Dans un monde où li faut être productif, rentable, et maître, seule l'affirmation compte ? Le langage comme outil de domination ?

Pourquoi pas : l'explosion de la réalité peut être choisie comme seule critère de vérité finale ; on peut vivre dans l'instant dont on essaie de tirer le maximum. Mais ce n'est pas le principe de la réflexion philosophique qui s'inscrit dans le temps et donc, dans la méfiance : alors, quoi de plus suspect que la belle et close Théorie ? Que cherche-t-elle à justifier … quoi, exactement ?

« La question » de point de départ n'est pas un artifice. C'est une « question » et le mot « Universel » ne peut être remplacé de façon anodine, d'emblée, par « général » : les connotations ne sont pas les mêmes . Pourquoi cette tentative d'évitement ?

Or, en l’occurrence, on peut noter que, dans le langage, cette notion d'universel traverse tous les domaines : « salut universel » / « légataire universel » / « relativité universelle » / « suffrage universel » / « clé universelle » etc...

... et pour finir « Déclaration universelle des droits de l'homme  » !

Pendant la soirée, ce terme « Humain » évoqué par Jean-Pierre, fut le deuxième mot zappé.

Pourquoi, à travers son histoire, l'homme ne peut-il s'empêcher de se référer à cette notion (cf. Les Mythes (caution du Sens ?), puis La Religion (caution des Valeurs ?), enfin La Science (caution de La Vérité ?...) ?

Donnée inscrite au cœur du réel se reflétant en l'homme ?

Donnée construite par l'homme, par besoin ou nécessité existentielle de compenser son incomplétude, ses limites, en affirmant son « appartenance à... » : cosmos, société ?

Alors, cet universel n'est-il qu'un mot  ? Peu importe, peut-être, puisque en tant que tel il est fort efficace, à la condition, toutefois, de ne pas oublier le contexte dans lequel il est utilisé : contexte du langage lui-même ainsi que de la réalité à tous les niveaux, individuelle et collective.

Au final, dans le développement d'une pensée (Atelier),

le plus significatif ne serait-il pas dans « ces mots » qu'on ne veut pas entendre (Humain / Hypothèse / Universel) ?

Geneviève

J'aurais envie de répondre à propos du concept d'universel, qu'il réside certainement en des mots, des phrases et des concepts. Mais c'est ce que les différentes religions successives nous ont appris à vénérer, aimer et vouloir. L'universel est cité dans les livres sacrés ...  Maintenant que dire de l'expérience même d'une totalité, d'un "savoir absolu" selon Hegel, de l'espace d'éternité !  Cet espace est il vide selon le Zen ou paradisiaque depuis le christianisme ? C'est une question d'états de conscience pratiqué et décrit par les sages, les prophètes, et de grands penseurs ...

      Maintenant il correspond à quoi d'un point de vue de l'existence, ou de l'expérience d'une transcendance ?   A rien du tout selon Sartre ! Le néant face à l'Existence !  Sartre aurait il pu aimer la méditation Zen ? 

       Là encore, je l’expliquais à un ami hier, le concept d'éternité, d'universel, d’État du divin est suggéré dans les livres religieux et sacré mais pensé, établi en termes de concepts depuis Pythagore, Platon, Socrate et encore bien peu chez lui,   Chez Kant, Hegel, Spinoza et  Descartes, une intelligence, une connaissance absolue, qui dépasserait toutes les autres. Soit on la détient et on veut en parler en terme d'Absolu, soit on en entend parler et ce n'est que des mots !  

       Parce que la seule preuve est dans l'expérience de la transcendance et encore il faut la réussir.  Si on n'a aucune raison d'y croire, on va conserver le néant !

       Il est certain que connaître l'infini, c'est absurde !  On reste dans des conscience humaines limitées ! Certains disent l'avoir atteint, obtenu. Ils étaient seuls dans leur expérience et ce n'est pas l'église qui va me dire le contraire. 

         Au point de vue des concepts philosophiques, oui là on place des limites, des symboles, des notions de références impossibles à déterminer, on compare avec nous

même, notre propre expérience.  Cela reste des mots en fait avec des mots. 

        Mais cela restent les mots de Kant à propos de la raison pure, de Hegel sur l'universel et la liberté comme but absolu du monde, Cela peut il réellement exister ? 

De déscarts voulant prouver l’existence de Dieu ... !  

       Parfois cela me rappel le film "Ridicule" ou Bernard Giraudeau jouant un abbé de cour d"montrait devant une assemblée de nobles et le roi la preuve de l'existence

de Dieu et recevait tous les honneurs de la cour. L'instant suivant, s'adressant au roi, il dit "si sa majesté le désire, je peut à l'aide du même raisonnement démontrer

le contraire" et là, il tombait définitivement en disgrâce !

                   Olivier Renard

Séances précédentes :

Passion, désir, besoin

La fonction du désir

Le corps, la jouissance et le langage

La jouissance au coeur des contraires

Bilan 2011/2012

Peut-on penser/maîtriser le changement ?

Quelles règles ? Détermination du thème.
Peut-on penser/maîtriser le changement ?
Doit-on connaître pour maîtriser ?
Le changement : contrainte ou choix ?
Que devons-nous changer ?
Qu'est-ce que penser le changement ?
Le rôle de l'intersubjectivité dans la pensée et la maîtrise du changement ?
Changement ou éternel retour ?
Fin du thème : Peut-on penser/maîtriser le changement ?

L'origine de la notion de réalité

L'origine de la notion de réalité
Est-ce qu'on voit ce que l'on croit ou est-ce qu'on croit ce que l'on voit ?
Toute pensée est-elle une réalité ?
Au commencement, était-ce le Verbe ?
La conscience est-elle dans la réalité ?
Le réel est-il intelligible ?
Le réel comme présence ou comme croyance ?
Comment le faux peut-il produire le vrai ?
Le rôle de l'émotion dans la recherche de la vérité ?
L'art permet-il de connaître l'origine de la réalité ?
Peut-on penser l'origine de la réalité ?
Comment peut-on dire qu'une chose est imprévisible ?
Détermination du thème

Quelle est la nature de nos pensées ?

Qu'est-ce qu'une idée ?
Est-ce que la pensée est un processus continu ?
Quelles sont les relations entre le langage et la pensée ?
Comprendre le monde, est-ce le penser ?
Les différents modes de conscience ?
Peut-on penser l'impensable ?
La pensée est-elle réductible à la matière ?
Quel phénomène fonde l'expression "la pensée" ?
Peut-on penser sans croyance ?
Peut-on entraver la liberté de penser ?
Y-a-t-il des liens entre la liberté individuelle et les libertés collectives ?
L'esclave : oui-non ou plus ou moins ? de qui ou de quoi ? ?
La réflexion dégrade-t-elle l'intuition ?
Peut-on définir la conscience ?
Peut-on penser sans langage ?
Peut-on faire un atelier philo sans mots ?
La pensée et le temps ?
La limite du langage ?
Qu'est-ce qui fonde le raisonnable ?
Tout argument est-il recevable ?

Quel "Thème" pour les mois à venir ?
La réalité du temps ?
Dieu ?
Le Dieu des savants ?
D'où je parle ?
N'y-a-t-il pas de l'universel en nous ?
Ce qui est devait-il être ?
Sans sortir de son ego, l'individu peut-il cerner ce qui l'entoure?
L'être et la lettre ?
Dieu est-il incompatible avec la philosophie ?
Sans croyance, l'individu peut-il avancer ?
La transcendance est-elle toujours religieuse ?
nouvelle méthode
Que du bonheur !
Vaut mieux avoir un peu de chaque chose que beaucoup d'une seule !
0n était là avant.
Les valeurs se perdent.
L'immigration est un problème
Oui, mais c'est bien pratique.
J'peux pas, j'ai pas le temps.
Que fait la police ?!
Y-a plus de jeunesse !
Les nôtres avant les autres !
Je tiens à toi !
Le travail, c'est la santé !
Tout se paie !
Mais pas que...
La connerie attire la connerie...
Dans ma vie d'avant...
Bonne Année ?
Toutes choses étant égales par ailleurs
L'homme ne voit pas le péril, il voit le profit
Après la pluie, le beau temps
En son âme et conscience
Pierre qui roule n'amasse pas mousse
Pour qui roules-tu ?
Il est bon de tourner sept fois sa langue dans sa bouche...
Mieux vaut tard que jamais ...
Faire et Défaire
Parler pour ne rien dire
Fais comme chez toi
Le dernier qui parle a toujours raison
C'est l'intention qui compte
Tout fout le camp, ma pauvre dame !
Les nuits sont plus longues que les jours !
La nuit tous les chats sont gris !
Ils se foutent de nous !
On est obligé de marcher !
C'est comme ça !
Il faut boire le vin quand il est tiré
Je ne sais pas si j'irai voter
En définitive, c'est à nous de faire !
Voter, c'est abdiquer!
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.
Il faut faire ce que l'on dit !
Il ne faudrait pas vieillir !
C'est pourtant pas compliqué !
Ils parlent bien mais que font-ils ?
La lumière est-elle antérieure à la matière ?
On demeure dans l'incertitude
A la va comme j'te pousse
On finira bien par y arriver
Où allons-nous ?
ça fait du bien par où ça passe
Y-a pas le choix !
Y-a pas le temps !
Le savoir, un droit ou un devoir ?
Les apparences sont trompeuses
Qu'est-ce qu'une question ?
Il n'y a pas d'amour heureux
J'en ai rien à foutre !
Quelle valeur a le tabou ?
Le doute empêche-t-il de cultiver la confiance ?
Trouver l'équilibre dans le déséquilibre
Peut-on être scientifique et religieux
Le Néant
Peut-on croire en soi-même ?
De quelle mort parle-t-on ?
C'est quoi les Vacances ?
Pourquoi il-y-a-t-il une multiplicité de réalités ?
L'impunité est-elle légitime ?
Dans quelle mesure une chose existe-telle en soi ?
Si tout est réel, l'imaginaire devient réel
Ne demande pas ton chemin à celui qui le connaît mais à celui qui comme toi le cherche.
L'homme peut-il vraiment s'extraire de la nature ?
Qu'est-ce que le "Je" pour moi ?
De qoi a-t-on peur ?
L'Humour et le Rire
D'où vient notre docilité ?
Faut-il avoir des certitudes ?
L'art est-il nécessaire ?
Réseaux sociaux et liberté d'expression
On est plus libre quand on sait que l'on ne l'est pas que quand on croit qu'on l'est ?
La philosophie peut-elle traiter l'actualité ?
Le monde dans lequel on vit est-il imaginaire ?
Peut-on s'orienter dans la pensée sans faire référence à l'histoire de la philosophie ?
Est-il possible de quitter sa culture d'origine ?
Peut-on apprendre à mourir ?
Qu'est-ce qu'un gouvernement légitime ?
Peut-on aimer quelqu'un sans s'aimer soi-même?
La politique peut-elle s'exercer indépendamment de toute morale ?
Sommes-nous des animaux ?
Comment se construisent les valeurs dans la société contemporaine ?
Que serions-nous sans mémoire ?
Pour qu'un investissement soit réel, ne faut-il pas qu'il implique une perte ?
La culture n'est ni utilitaire, ni vitale, mais un plaisirqui tutoie le loisir
Dans quelle mesure un jugement peut-il signifier mon ignorance ?
La politique a-t-elle pour but le bonheur ?
La justice peut-elle être au-dessus de la politique ?
La politique peut-elle encore sauver le monde ?
Est-ce que tout est langage ?
Le grand nombre d'individus modifie-t-il la pensée personnelle de chacun ?
Pourquoi faire partir sa réflexion philosophique sur l'étonnement ?
Pourquoi faire partir sa réflexion philosophique sur l'étonnement ?
Peut-on avoir une liberté individuelle sans souveraineté collective ?
La philosophie est-elle une pensée au-delà de l'utile ?
Peut-on définir le vrai ?
Qu'est-ce qui nous pousse à penser ce que nous pensons ?
Un idéal est-il humain ?
L'homme cherche-t-il systématiquement à établir l'équilibre ?
L'universel ne réside-t-il que dans les mots ?